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LA VALSE, 24 cm, terre cuite patinée, engobe
Sculpture La Valse, la puissance de l'amour naissant
Sculpture sur mesure
Cette statue peut être réalisée dans d’autres dimensions, sur demande : de 10 cm à 5 mètres !
Ou dans d’autres matières : bronze, résine ou terre cuite. L’aspect peut donc être personnalisé : effet de pierre polie blanche, translucide ou avec des résines colorées.
La Valse
Première sculpture que j’ai osé montrer au monde, La Valse occupe une place singulière dans mon parcours.
Elle est née d’un élan spontané, d’une sensation de mouvement intérieur que mes mains ont traduit sans préméditation. Deux formes se sont alors rapprochées, enlacées dans une même impulsion, comme deux êtres qui se découvrent et s’abandonnent à une danse naissante.
Cette sculpture parle de l’amour au premier souffle : ce moment fragile et puissant où tout bascule — où deux trajectoires se mêlent, où l’on avance ensemble sans savoir encore où cela mène.
Elle capture l’instant où la rencontre devient mouvement, où le mouvement devient danse, où la danse devient promesse.
Ses formes souples, presque liquides, semblent s’appuyer l’une sur l’autre. Leur verticalité légèrement inclinée donne la sensation d’un pas glissé, d’une impulsion partagée, d’une confiance mutuelle.
On y lit une tendresse, une joie, un abandon lumineux.
Une sculpture de l’élan partagé
Façonnée dans une terre sombre aux nuances profondes, patinée de reflets bruns et bronze, La Valse joue avec la lumière.
Les courbes captent les ombres, les creux révèlent une chaleur discrète, comme si chaque mouvement laissé dans la matière contenait encore l’écho d’un souffle.
Les deux silhouettes ne sont pas séparées : elles se soutiennent, se portent, s’enlacent.
Elles incarnent l’unité en devenir, ce moment où l’on n’est pas encore « nous », mais où quelque chose déjà unit.
La sculpture ne représente pas une scène : elle exprime une vibration.
La naissance d’un amour
Dans La Valse, je vois la force de l’amour naissant — cet élan qui précède les mots, qui précède même la conscience.
Un mouvement viscéral, intuitif, qui entraîne deux êtres dans un échange silencieux.
Cette danse n’a rien de spectaculaire : elle est intime, ancrée, fondatrice.
Elle parle de ce qui lie, de ce qui attire, de ce qui ouvre.
Pour moi, elle demeure une sculpture essentielle : le témoignage d’un premier dévoilement, d’une première exposition, d’un premier geste partagé avec ceux qui allaient regarder mon travail.
Elle demeure le symbole doux et vibrant de cette audace : oser montrer, oser aimer, oser danser.
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Catherine Chavigny
Formée à la sculpture auprès de Monique Sidelsky, Catherine Chavigny développe depuis plus de vingt ans une œuvre profondément ancrée dans le vivant.
Ses sculptures, souvent inspirées du féminin, traduisent une recherche d’harmonie, de liberté et de résonance avec la nature.






